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Qui je suis ?

Enseignant de sciences économiques et sociales

 

Marié, père de 2 enfants

 

Conseiler municipal d'opposition de 2001 à 2008

Militant socialiste

Engagé aux côtés d'Edouard Baldo

 

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Ouvrage décroissance

La crise écologique est là. Même les plus sceptiques ne peuvent en douter. Réchauffement climatique, pollutions croissantes, cancers en hausse constante, extinction de plus en plus rapide des espèces, raréfaction des ressources pétrolières. Face à ces destructions engendrées par notre système économique devenu fou, certains écologistes s’opposent au développement durable et parlent de plus en plus de décroissance. Comme si c’était l’unique solution. Mais la décroissance n’est pas seulement une remise en cause de la dépendance énergétique de notre système économique. Derrière ce mot vague de décroissance se cache une idéologie plus vaste aux alternatives plus que discutables. Au nom de l’anti-occidentalisme, de la critique du progrès et de la rationalité, nombre de décroissants défendent des thèses inquiétantes, sur la critique de la modernité, la place des femmes, la démographie, la respiritualisation de la société. C’est cette face cachée de la décroissance qu’explore cet ouvrage.

 Cyril Di Méo, élu et militant écologiste à Aix-en-Provence est aussi enseignant de Sciences Economiques et Sociales.

 «Cyril Di Méo grâce à la connaissance approfondie qu’il a à la fois des écrits des grands ancêtres de l’écologie politique et de ceux de la mouvance décroissanciste inscrit ce courant dans une histoire longue, en identifiant les origines et le cheminement de cette pensée. Il montre précisément la gravité des implications du discours décroissant, notamment vis-à-vis des pays du Sud et des femmes. Un ouvrage sans concession, mais aussi sans dérapages, Cyril Di Méo s’en tient toujours très précisément aux faits, aux écrits pour étayer ses conclusions. Il conclut d’ailleurs son ouvrage en indiquant que « l’écologie doit faire le pari de l’intelligence de la raison ». Et c’est bien ce à quoi il s’attelle fort utilement avec ce livre ». 

 Guillaume Duval, Rédacteur en chef d'Alternatives Economiques.

   ISBN: 2-296-01224-8

 Achat en ligne

http://www.amazon.fr/gp/product/2296012248/ref=sr_11_1/171-1636061-8438610?ie=UTF8

http://www.harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=21965

14 décembre 2010 2 14 /12 /décembre /2010 22:40
Notre territoire crève de son aml développement urbain. Crise du logement, crise foncière, crise des transports....nous sommes au bord de l'asphyxie mais nos dirigeants locaux...ne s'en rendent pas compte.
Alors qu'on aurait envie de crier "Vite la métropolisation...ça urge où nos territoires vont en crever"....eux continuent leurs guerres de clochers. Décidemment nos élus locaux ne sont pas à la hauteur de nos problèmes.
Lu dans La Provence
2013 : Marseille capitale culturelle sans Aix ?

Publié le mardi 14 décembre 2010 Alors que les responsables du projet sont à Bruxelles aujourd'hui, Maryse Joissains persiste et signe. La riposte s'organise

Maryse Joissains ne recule pas: elle se dit prête à créer un événement culturel

Maryse Joissains ne recule pas: elle se dit prête à créer un événement culturel "Aix-en-Provence 2013" si elle n'obtient pas satisfaction sur le dossier de l'université.

Photo Serge Mercier

 

Il y a d'abord eu le coup de sang. Vendredi, quand elle a pris connaissance des statuts de l'université unique, Maryse Joissains a immédiatement retiré la délibération qui devait acter l'entrée d'Aix et du pays d'Aix dans Marseille Provence 2013. Trois jours plus tard, ce n'est plus un coup de sang : c'est de la colère, froide, assortie d'une détermination sans faille... "Personne ne me fera changer d'avis ! Ni Valérie Pécresse (ministre de l'enseignement supérieur), ni le Président de la République!"

Pourquoi assujettir l'entrée dans Marseille-Provence 2013 aux statuts de l'université ?
Parce que nous avons toujours refusé de servir de marchepied. J'ai accepté la fusion des universités à une condition : que le siège de l'université soit en partie à Aix. Aujourd'hui, cette condition n'est pas remplie. Demain, nous allons accepter d'entrer dans MP 2013 et, dans trois ans, nous risquons d'être de nouveau oubliés : à l'heure d'attribuer les fonds, on nous dira que la ville culturelle, c'est Marseille et plus Aix.

Peut-on réellement imaginer que MP 2013 se fera sans la ville d'Aix ?
Tout est encore possible. Nous sommes disposés à rejoindre MP 2013, à condition que la ville d'Aix ne soit pas dépouillée. Or aujourd'hui, avec la décision qui a été prise au niveau des trois universités, nous considérons l'avoir été.

Que demandez-vous ?
Cela fait 600 ans que l'université est à Aix: il n'y a aucune raison pour que cela change. Ce qui était convenu est simple: l'université unique doit avoir un seul siège mais avec deux localisations. La localisation administrative et fonctionnelle à Marseille et la localisation stratégique à Aix. Si nous obtenons ces garanties, nous continuerons à avancer ensemble...

Sinon ?
Sinon, nous ferons Aix-en-Provence 2013! 2013 n'est pas un label et la ville d'Aix n'appartient qu'à nous. Avec l'argent qu'on nous demande, nous pourrions satisfaire tous les projets culturels du territoire. Nous ne souhaitons pas en arriver là… Mais je ne vois pas pourquoi nous ferions des sacrifices alors qu'on cherche à piller la ville d'Aix- en-Provence !

Un nouvel épisode de la rivalité aixo-marseillaise, sur fond de métropolisation...
Aujourd'hui, on essaie de tuer la ville d'Aix au profit d'une métropolisation larvée que tous les maires du territoire refusent. Marseille est une belle ville, avec un maire et des élus formidables... Pour autant, nous n'acceptons pas qu'ils nous marchent dessus. Nous sommes amis, nous avons les mêmes idées politiques, mais Aix passe avant les idées politiques et les amitiés.

Au risque d'être fragilisée politiquement ?
Ce n'est pas Maryse Joissains de l'UMP qui parle, c'est Maryse Joissains, maire d'Aix. C'est pour ça que j'ai été élue : pour défendre mon territoire. Si je cède, sur l'université, après ce sera quoi? La Cour d'appel..? L'IEP..? La solidarité doit fonctionner dans les deux sens : soyez solidaires pour l'université, nous le serons pour MP 2013. Si ils ne l'acceptent pas, nous nous débrouillerons avec nos moyens. Pour la culture et, pourquoi pas, pour l'université.

Une université aixoise... sans Marseille ?
La fusion est entérinée par un acte administratif: si on estime que cela porte grief à la ville d'Aix, on saisira les tribunaux. Je n'ai jamais été intimement convaincue par cette fusion… Je l'ai acceptée à condition que notre spécificité aixoise soit respectée. Aujourd'hui, ce n'est pas le cas.

 

Damien FROSSARD
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7 décembre 2010 2 07 /12 /décembre /2010 18:31

Exclusif: Besset démissionne du staff d'Europe écologie!

Gérald Andrieu - Marianne | Lundi 6 Décembre 2010
Dans un courrier que s’est procuré Marianne, l’eurodéputé Jean-Paul Besset décrit un «climat de guerre froide» dans les rangs d’Europe écologie – Les Verts. Ce proche de Nicolas Hulot regrette que «la fusion-dépassement» pourtant célébrée en grandes pompes à Lyon, il y a moins d’un mois, entre Verts et non-Verts «[n'ait] pas eu lieu» et annonce «renoncer à toute responsabilité», lui qui devait codiriger le rassemblement des écologistes avec Cécile Duflot…



Jean-Paul Besset (photo: Marie-Lan Nguyen - Wikimedia commons - cc) 
«Faire de la politique autrement », c’était le pari d’Europe écologie – Les Verts. Hélas, en politique, les jeux de courants et d’écuries, les tractations et les bisbilles en tous genres sont monnaie courante. Europe éco n’échappe pas plus à la règle qu’un autre mouvement. La preuve avec un courrier interne de Jean-Paul Besset adressé aux membres du Bureau exécutif de la formation écologiste et que Marianne s’est procuré. À travers ce texte, l’eurodéputé explique les raisons qui l’ont finalement poussé à « renoncer à toute responsabilité au sein d'Europe Ecologie - Les Verts ».

Il avait pourtant été acté que ce proche de Nicolas Hulot et initiateur du rassemblement des écolos codirigerait la nouvelle formation avec Cécile Duflot. A elle, l'exécutif. A lui, le « Parlement » d'Europe écologie. Mais visiblement  le « climat délétère de guerre froide et de paix armée » qui règne dans ses rangs a eu raison du « rêve » de Besset. « La fusion-dépassement, écrit-il, n'a pas eu lieu ». Une fusion entre Verts et non-Verts pourtant célébrée en grandes pompes à Lyon, il y a moins d’un mois. Il y aurait, explique-t-il, « d'un côté, le parti où nombre de Verts verrouillent une reproduction à l'identique, avec les mêmes têtes, les mêmes statuts, les mêmes pratiques, les mêmes courants, la même communication pseudo radicale, la même orientation servile vis-à-vis de la gauche » et, « de l'autre côté, la Coopérative que certains veulent instrumentaliser en machine de guerre contre le parti. » « Faire de la politique autrement », qu’ils disaient ? Voilà qui n’y ressemble guère…


On lira ci-dessous la lettre de démission, sorte de testament politique, de Jean-Paul Besset :

Pourquoi j'abandonne

 

J'ai décidé de renoncer à toute responsabilité au sein d'Europe Ecologie-Les Verts. Cette décision est mûrement réfléchie. Elle n'est le fruit ni d'un coup de tête ni d'un coup de blues. Elle révèle l'impuissance que je ressens de plus en plus douloureusement face à une situation de conflit interne qui m'apparaît, en l'état, dominante, indépassable, broyeuse d'énergie et d'espérance. Elle vise aussi à dissiper l'illusion fédératrice que ma présence entretient dans la direction du mouvement, entre marteau et enclume.

 

Autrement dit, j'avoue l'échec, personnel et collectif : je ne souhaite plus m'épuiser à construire des passerelles alors que l'essentiel des préoccupations consiste à entretenir les suspicions ou à rêver d'en découdre pour affaiblir tel courant, détruire tel individu ou conquérir tel pouvoir. Je n'assumerai pas plus longtemps la fiction et l'imposture d'un rôle revenant à concilier l'inconciliable.

 

Si ma mise à l'écart volontaire, dont je pèse amèrement le sens négatif aux yeux des militants sincères, peut servir à quelque chose, c'est de dissiper le rideau de fumée et chasser l'hypocrisie: que les masques tombent ! Que les couteaux sortent s'ils doivent sortir ou que les convictions l'emportent enfin sur les ambitions, mais qu'au moins il se passe quelque chose, qu'Europe Ecologie-Les Verts échappe à ce climat délétère de guerre froide et de paix armée !

 

I have a dream... Oui, j'avais fait le rêve que les Assises de Lyon, le 13 novembre, seraient une date « constituante », consacrant l'aboutissement d'une démarche de dépassement collectif pour construire une force alternative, responsable et désirable, indispensable aux enjeux de l'époque. Cette journée devait marquer les esprits au point de les transformer grâce à un sentiment d'appartenance commune, emportés par une dynamique qui submergerait les inévitables aigreurs, les petits calculs, les préjugés stupides, les médiocrités recuites. J'ai cru que la force de l'essentiel l'emporterait sur les turpitudes usuelles. Qu'il y aurait donc un avant et un après Lyon...

 

Je me suis trompé. Lourdement. Il est impossible de parvenir à faire la paix entre ceux qui aspirent à la guerre.

 

Il y a bien un après Lyon... mais, à l'image du nom retenu (Europe Ecologie-Les Verts), il reproduit ce que nous avions eu tant de mal à contenir dans l'avant Lyon : le scénario des crispations et des jeux claniques, la comédie du pouvoir, le monopoly des territoires. Règlements de compte, délices du déchirement, obsessions purificatrices et procès en sorcellerie saturent à nouveau l'espace, au point de rendre l'air interne irrespirable et le travail politique secondaire.

 

La fusion-dépassement n'a pas eu lieu. Le fossé des défiances reste plus béant que jamais entre ceux supposés vouloir rester en famille et ceux suspectés de chercher le divorce pour la recomposer, rendant impossible toute entreprise commune. D'un côté, le parti où nombre de Verts verrouillent une reproduction à l'identique, avec les mêmes têtes, les mêmes statuts, les mêmes pratiques, les mêmes courants, la même communication pseudo radicale, la même orientation servile vis à vis de la gauche; de l'autre côté, la Coopérative que certains veulent instrumentaliser en machine de guerre contre le parti. Dans ces conditions, aucune discussion sereine, aucun désaccord rationnel ne peut exister. Chaque choix est hypothéqué, chaque initiative s'avère lourde de conflits.

 

Par bonheur, la dramaturgie de nos luttes fratricides en reste aux simulacres. Elle ne tue pas vraiment mais elle use, elle ronge, elle épuise, elle désespère. Certains bâtisseurs, comme mon vieux complice Pascal Durand, ont déjà pris leurs distances. A mon tour de déclarer forfait et de refuser d'assumer plus longtemps un rôle d'équilibre alors qu'on me somme chaque instant de choisir un camp, de dénoncer machin ou de sacrifier truc, de justifier le moindre acte des « autres », de prendre parti dans le choc des ego, de participer au grand concours des détestations, bref de faire tout ce que je déteste.

 

J'ai contribué à construire un mouvement que je juge désormais métastasé et auquel, pas plus que quiconque, je ne sais apporter de remèdes. Je n'entretiens aucun ressentiment, j'apprécie les qualités individuelles des un(e)s et des autres, je ne regrette rien du chemin. Mais, sous l'impact de trop fortes pesanteurs internes engendrées par les coutumes du vieux monde politique dont toutes – je dis bien toutes! - les sensibilités d'EELV portent les stigmates, la mayonnaise collective a tourné et déprécie maintenant les énergies.

 

C'est humainement insoutenable. C'est en tout cas à mille lieux du projet qui m'habitait. Je renonce donc sans rien sacrifier de mon espérance dans l'écologie politique comme horizon de survie et d'émancipation. Sous réserve, peut être, d'un sursaut durable et d'un ressaisissement collectif que mon retrait pourrait favoriser.

 

6 décembre 2010

Jean-Paul Besset

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29 novembre 2010 1 29 /11 /novembre /2010 17:06

 Le collectif Droite populaire auquel appartient Mme Joissains salue la votation d'ultra droite des suisses qui a voté l'explusion automatique des délinaquants étrangers à la fin de leur peine....

 

Dans leur communiqué ils " ont salué aujourd'hui l'approbation par les Suisses d'un durcissement du renvoi des étrangers délinquants, y voyant "une vraie leçon de bon sens" dont la France devrait s'inspirer.
 

Pour eux "C'est une vraie leçon de bon sens de nos amis suisses administrée à leurs voisins européens confrontés aux mêmes problèmes de délinquance"

 

Pour eux  "les étrangers qui respectent les lois du pays d'accueil sont les bienvenus, ceux qui les violent doivent faire l'objet d'une procédure d'expulsion après avoir purgé leur peine".

 


"La France devra bien, elle aussi, changer sa législation à ce sujet, si elle veut protéger plus efficacement ses ressortissants et les étrangers qu'elle souhaite accueillir. L'application de ce principe aura également une vertu pédagogique et dissuasive à l'égard de ceux qui seraient tentés de confondre hospitalité et laxisme"

 

Ils se joignent ainsi au concert de louange fait par Le Pen et Gollnish...

 

Beurkkk !!!

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24 novembre 2010 3 24 /11 /novembre /2010 19:44
On a du mal à y croire tant le ton est violent... C'est sur le blog de Christian Kert...et c'est un scud contre B Genzana et ses "traitrises". Christian Kert spécialiste des médias pour l'UMP..nous donne aussi sa version du journalisme local... Sarko maltraite les journalistes...ça l'a visiblement  inspiré.  A moins que ce soit le climat politique aixois que C Kert se met à découvrir depuis quelques mois...avec son désir de se parachuter sur aix. Il se met donc à l'ambiance locale et sort ses Joisinades...
 
Il y a là une bonne nouvelle la droite locale retombe dans ses divisions..si la gauche n'est pas trop bête elle pourra peut être gagner la XIeme ciconscription... Tout est possible.
 
http://christiankert.over-blog.fr/article-pauvre-bruno-61487234-comments.html#anchorCommentlink
 
 
Lundi 22 novembre 2010 1 22 /11 /2010 12:06

                                                                                      

Y a-t-il des êtres « nés pour trahir » ? C’est la question qu’un sociologue américain se posait, voici quelques années,  dans un livre qui, je crois, portait ce titre. Et il répondait par l’affirmative. Peut être pourra t-il prendre comme cas d’étude le conseiller régional Bruno Genzana qui devint, il y a quelques années adjoint au maire de Maryse Joassains avant de mener une campagne très offensive contre elle, notamment par un affichage commercial payé par l’UMP (un comble puisqu’il se recommande du Nouveau Centre !) ; le même Bruno Genzana qui fut mon suppléant, (et, à ma demande, ne le resta point !)  conduisit une campagne non moins offensive contre son collègue, le premier adjoint au maire d’Aix, Jean Chorro, avant de simuler des retrouvailles lorsqu’il comprit que le combat était perdu d’avance. Toujours Bruno Genzana lâchant en rase campagne ses amis François Xavier de Peretti et Stéphane Salord avec lequel il mena un combat municipal contre la députée maire. Genzana, encore, proposant au leader UMP de Salon, Nicolas Isnard, un deal équilibré qu’il s’empressa de renier sitôt que le poste attendu lui fut acquis. Et j’en oublie. Se recommandant, sans cesse, de son amitié avec le sénateur Jean Claude Gaudin (qu’il fait « parler ») l’homme dirige aujourd’hui ses flèches vers moi car (ô surprise) il estime que la nouvelle 11° circonscription dont je suis le député lui conviendrait bien. Et pour ce faire, les méthodes sont identiques : dénigrement et fausses rumeurs. Notamment en utilisant une presse aixoise complaisante à son égard. Si complaisante d’ailleurs que le « peuple politique » d’Aix s’interroge sur les liens réels qui peuvent unir le conseiller régional et deux au moins des correspondants aixois (j’utilise à dessein le terme de correspondants car j’ai une autre idée du journalisme que celle de la dépendance à autrui, fut elle gratuite ; ce sur quoi, d’ailleurs, on peut s’interroger). Pauvre Bruno, isolé dans ton combat : la vie tout court, et la vie politique en particulier, valent beaucoup mieux que cela. Plus d’honneur et plus de dignité.

Par Christian Kert
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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 21:17

La decroissance mène à tout...

 

Lu dans le figaro du jour

 

La primaire pour désigner votre candidat en 2012 devrait être organisée à l'automne 2011. Êtes-vous toujours candidat à la candidature ?

 

Oui. Par rapport à celles d'Eva Joly, mes idées sont assez contrastées. Eva est assez nouvelle dans l'écologie et la politique. Il lui sera donc difficile d'élargir son image de magistrate, aussi excellente soit-elle, et de militante anticorruption. De mon côté, par mon expérience politique et quarante ans de militantisme de terrain, je pense être plus représentatif de l'écologie politique. Mais nous sommes civilisés tous les deux. Ce sera une bonne primaire. En revanche, si Nicolas Hulot, qui doit venir ce week-end à Lyon, se déclare avant le printemps, je retire ma candidature. Il serait un bon candidat, mais il doit se décider vite !

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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 20:57

On savait Maryse Joissains proche de la droite extrême en tant que membre du collectif Droite populaire dont certains membres avaient mis il y a quelques semaines sur la table une possible alliance UMP / FN. On connaissait les attitudes et propos de Maryse Joissains dont la tonalité et le contenu flirtaient régulièrement avec la droite extrême. On ne pouvait pas ne pas remarquer la bizarre absence à plusieurs scrutins successifs municipaux de liste d'extrême droite à Aix... et bien voilà que l'on passe à l'étape suivante, le recyclage d'anciens élus d'extrême droite.  A moins que ce soit, lachée par ses amis UMP (voir le bordel et la défiance à la CPA), la solitude qui pousse Mme Joissains à chercher de nouveaux amis ???

  

La nouvelle tournait dans la ville depuis quelques jours mais on osait y croire. La Provence confirme ce jour, Damien Bariller ex leader FN puis ex bras droit de Bruno Megret au MNR, puis leader MPF aixois a été embauché par un organisme de la ville, la SEMEPA.

 

ps : La façon dont l'adjoint aux fiances d'Aix évacue la question fait froid dans le dos.

 

A lire dans LA Provence du 11 novembre.

Un ex-baron du FN à la communication de la Société d'économie mixte de la Ville

Publié le jeudi 11 novembre 2010 à 17H36

 

"Nous, les libéraux, on est large d'esprit. Et puis, il n'est pas FN, il était au MNR". Gérard Bramoullé, président de la Semepa, a le sens de la nuance. N'empêche, il confirmait hier la nomination à la direction de la communication de la société d'économie mixte de la Ville, de Damien Bariller. 

Cet Aixois s'est engagé tout jeune dans les rangs du Front national avant de faire partie du tout premier cercle de Bruno Mégret, époque MNR. Il s'est reconverti ensuite du côté du MPF de Philippe de Villiers dont il fut responsable départemental. Ancien conseiller régional, conseiller municipal FN à Aix de 95 à 2001, tête de liste  à la municipale de 2001, c'est lors de la législative de 1993 dans la circonscription de Gardanne, qui laisse son nom dans l'histoire politique locale : son maintien au second tour - qui aurait été négocié par l'ancien ministre de la Ville auprès de Le Pen - permet la victoire de Tapie.

 

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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 20:36

Le Parisien 10/11/2010 - 17:44

Cohn-Bendit parle du "sectarisme" des Verts

Les écologistes n'ont pas tous l'esprit à la fête. A trois jours des Assises de où doit naître le parti de rassemblement des Verts et d'Europe-Ecologie, Daniel Cohn-Bendit se montre peu enthousiaste. Dans une interview  dans les colonnes du «Parisien» et d'«Aujourd'hui en France», l'eurodéputé parle d' «un pas en avant important» mais regrette que « le sectarisme des Verts n'ait pas disparu ».

 

Alors que Cécile Duflot, la numéro un des Verts, s'affirme dans un entretien au Monde «fière et heureuse» que son parti ait accepté à 85,1% le changement de statut ouvrant la voie à la création de la nouvelle formation, Cohn-Bendit est loin de les remercier. «Ils n'avaient pas beaucoup d'alternative, juge-t-il, c'est la moindre des choses».

 

 

Lepage décide de tourner le dos à Europe Écologie

Le Figaro Par Rodolphe Geisler  11/11/2010 |

 

Pour justifier ses atermoiements, l'ancienne candidate à la présidentielle de 2002 (1,88% des voix), qui se réclame d' «une écologie pragmatique et réaliste, à la droite du PS», explique que «la raison d'être de (son) mouvement a toujours été de vouloir changer de modèle de développement tout en restant réaliste». «Nous avons d'abord cru que cela était possible dans le cadre du MoDem, avant de nous rendre compte qu'il y avait un problème de gouvernance et d'intérêt réel pour l'écologie. L'idée de Daniel ­Cohn-Bendit d'un grand rassemblement de tous les écologistes nous avait alors paru intéressante. Or, nous nous rendons bien compte que ce qui se dessine aujourd'hui n'a plus rien à voir avec l'idée de départ», dénonce-t-elle.

 

«Relookage»

 

Selon Corinne Lepage, le nouveau parti écolo né de la fusion des Verts et du rassemblement Europe Écologie, qui sera officiellement lancé ce week-end à Lyon, ne serait plus qu'un simple «relookage» des Verts, avec un curseur «de plus en plus à gauche». «Lyon, c'est la publicisation d'une organisation autour des Verts, qui ont réussi une OPA sur Europe Écologie», assure encore la présidente de Cap 21. Elle dit rêver d'«un grand rassemblement qui mette l'écologie au centre».

 

 

 

Mais heureusement il y aura le benet de Hulot pour lancer tout ça...Il manque plus que Pierre Rabhi et Yves Paccalet...

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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 22:50

On était moins nombreux que les fois précédentes à marseille ce samedi 6 novembre, mais le coeur y était.

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8 novembre 2010 1 08 /11 /novembre /2010 10:56

 

Un festival de sourires..

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Bon on a pas eu le courage de lui expliquer qu'on était dans un pays où on allait travailler jusqu'à 67 ans..où on vole des ordinateurs des journalistes qui osent enquêter sur les affaires du pouvoir, où une immunité est décidée pour l'ensemble des proches du président dans l'affaire des sondages, où le moindre comique (Dahan) osant une chronique antigouvernmentale se fait virer d'une radio publique, où on ne peut pas crier "Tibet libre" sans se faire embarquer lorsque qu'un tyran chinois vient se pavaner en France...

 

On n'a pas eu le courage de lui gacher ses 7 mois qui arrivent dans quelques jours. 

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8 novembre 2010 1 08 /11 /novembre /2010 10:31

La mairie de Peynier assigne en diffamation l'association Jean Zay pour son tract suite à l'installation de la statue à la mémoire de Vincent Delpuech. Elle lui réclame 18 500 euros de dommages pour diffamation. La famille de Vincent Delpuech assigne aussi l'association et lui réclame aussi le 13 000 euros.

 

 

L'audience aura lieu  le 13 décembre au tribunal correctionnel d'Aix.

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