Hier se tenait à la cité du livre une rencontre du groupe des 27 devenu groupe du 27. Les compagnies de théatre et de danse aixoise expliquaient leur situation., leurs angoisses, leurs reflexions.
D'abord le constat est clair l'Etat est entrain de tuer la culture. Les compagnies n'ont plus alors comme solution que de se retourner ves les collectivités locales....cela pose problème. Quelle est la politique culturelle de l'Etat ?
Mais le paradoxe c'est que le collectif s'est exprimé au nom des thèses post moderne de deleuze sur la totale déconstruction des concepts et le refus des modes classique d'organisation. On peut comprendre que la diversité du collectif soit importante et qu'il faille avancer progressivement mais cette reflexion m'a interrogé. Peut on lutter contre la déstructuration sociale, le désengagement de l'Etat par des discours post modernes de déconstruction ? Le démembrement corporel de Deleuze et Guattari n'est il pas entrain de devenir notre quotidien ?
Le deuxième problème est le reportage diffusé par F 3 sur le sujet. L'accent y était mis sur la récupération politique du débat. Et en définitive c'est ce qui pose le plus question.....Les compagnies vues l'abandon de l'Etat n'ont plus comme partenaire sous peine de mourrir que les collectivité. a Aix la CPA et la mairie d'Aix deviennent incontournables. On comprend alors l'impossible position des acteurs / opérateurs/ vingt-septiemistes.
Mais la question est là !!! Comment pouvoir faire front à la CPa sans risquer de tout perdre ? Comment réinventer une politique culturelle 2 ans avant une future campagne ? Comment parler de politique culturelle sans parler de politique ?