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Qui je suis ?

Enseignant de sciences économiques et sociales

 

Marié, père de 2 enfants

 

Conseiler municipal d'opposition de 2001 à 2008

Militant socialiste

Engagé aux côtés d'Edouard Baldo

 

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Ouvrage décroissance

La crise écologique est là. Même les plus sceptiques ne peuvent en douter. Réchauffement climatique, pollutions croissantes, cancers en hausse constante, extinction de plus en plus rapide des espèces, raréfaction des ressources pétrolières. Face à ces destructions engendrées par notre système économique devenu fou, certains écologistes s’opposent au développement durable et parlent de plus en plus de décroissance. Comme si c’était l’unique solution. Mais la décroissance n’est pas seulement une remise en cause de la dépendance énergétique de notre système économique. Derrière ce mot vague de décroissance se cache une idéologie plus vaste aux alternatives plus que discutables. Au nom de l’anti-occidentalisme, de la critique du progrès et de la rationalité, nombre de décroissants défendent des thèses inquiétantes, sur la critique de la modernité, la place des femmes, la démographie, la respiritualisation de la société. C’est cette face cachée de la décroissance qu’explore cet ouvrage.

 Cyril Di Méo, élu et militant écologiste à Aix-en-Provence est aussi enseignant de Sciences Economiques et Sociales.

 «Cyril Di Méo grâce à la connaissance approfondie qu’il a à la fois des écrits des grands ancêtres de l’écologie politique et de ceux de la mouvance décroissanciste inscrit ce courant dans une histoire longue, en identifiant les origines et le cheminement de cette pensée. Il montre précisément la gravité des implications du discours décroissant, notamment vis-à-vis des pays du Sud et des femmes. Un ouvrage sans concession, mais aussi sans dérapages, Cyril Di Méo s’en tient toujours très précisément aux faits, aux écrits pour étayer ses conclusions. Il conclut d’ailleurs son ouvrage en indiquant que « l’écologie doit faire le pari de l’intelligence de la raison ». Et c’est bien ce à quoi il s’attelle fort utilement avec ce livre ». 

 Guillaume Duval, Rédacteur en chef d'Alternatives Economiques.

   ISBN: 2-296-01224-8

 Achat en ligne

http://www.amazon.fr/gp/product/2296012248/ref=sr_11_1/171-1636061-8438610?ie=UTF8

http://www.harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=21965

17 octobre 2008 5 17 /10 /octobre /2008 14:41

Mon commentaire sur la gauche aixoise a suscité quelques interrogations.

Pourquoi ne pas évoquer Agopian et Anthony Sette ? Effectivement chaque camp pezetiste et medvedowskyste prépare la relève. D'un côté l'absence répétée du leader amène Agopian a jouer la doublure permanente. Agopian n'a pas les qualités intellectuelles de synthèses et d'analyse de Medve ...mais il a le culot et la capacité de faire le spectacle et le show réussissant à semer la zizanie là où personne ne l'attend..(même lui). Je ne lui vois cependant pas le profil de leader de la gauche aixoise.



Encore moins socialiste que ses acolytes (c'est dire) et trop "poujadiste" pour être crédible... De l'autre côté la noblesse de Michel Pezet le pousse à préparer sa succession avec Anthony Sette. Anthony est à peu pret l'inverse d'Agopian . Homme de conviction et de valeur il est socialiste jusqu'au bout des ongles et préfére les débats d'idées et règles éthiques aux effets de manche et polémiques médiatiques.(Hélas ce ne sont pas sur ces qualités que sont choisis les leaders locaux) Le problème c'est qu'il est jeune et ne s'est présenté à aucune élection sous son nom à Aix. Peut être (et on peut le souhaiter) que les prochaines cantonales et législatives changeront les choses..mais en l'état il manque de surface médiatique vis à vis des aixois et son jeune âge reste un handicap...

C'est pour cela que je ne vois que des quadras bien avancés pour sortir la gauche locale de l'ornière... pourquoi pas Marc Pena ou Patrice Halimi...??? Mais bon il faudrait que les clans socialistes acceptent de vouloir faire gagner la gauche... Or rien n'est moins sûr, car en l'état je crois que nous repartons comme en 2001. Les principaux leaders se sont effacés, repartis travailler à Paris, ou plaider à Aix (mais sans esapace politique aixois)...et attendent que le fruit pourri tombe tout seul. Cette stratégie a déjà perdu ..Mais visiblement cette idée qu'"il y a des défaites qui préparent les victoires" continue d'animer les leaders locaux. Le tout sous l'oeil bienveillant du ps 13 qui savoure de ne pas voir émerger sur Aix de concurrent sérieux pour le leadership sur le département.

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